Réglementer les congés de paternité pour parvenir à l'égalité dans les soins du bébé
Egalité entre les différentes mesures proposées pour réaliser la conciliation du travail congé de paternité et la maternité. Dernière extension de la limite inférieure à laquelle les parents peuvent prendre congé dans cinq semaines cette fois-ci pour se consacrer à leurs enfants.
Cependant, certaines voix indiquent qu’une extension de la congé de paternité si ce n'est pas réglementé. De nombreux parents ont encore peur de prendre ce congé car ils pensent que cela pourrait entraîner leur licenciement ou une retenue de salaire. Pour cette raison, nous devons ajouter à ces mesures une législation qui protège les droits du travail des hommes.
Non transférable et payé à 100%
Parmi les voix qui demandent la réglementation de ces extensions, on peut citer la Plate-forme pour des permis de naissance et d'adoption égaux et non transférables, PPiiNA. D'un côté, il est positivement valorisé que le gouvernement ait dans son programme la réalisation d'un congé de paternité égal et non transférable et payé à 100%, mais il est reproché aux postes budgétaires d'être inférieurs à ceux d'autres cas.
Toute prolongation du congé de paternité ne doit pas nécessairement signifier une avancée vers l'égalité. PPiiNA note qu '"il serait contre-productif d'utiliser des fonds publics pour se développer"à tuntun«Une semaine et une autre congé de paternité, sans une conception claire et une réglementation du système de permis." L'objectif devrait être l'utilisation égale de ces temps.
C'est-à-dire un permis de paternité qui permet effectivement à chaque parent de rester responsable de son bébé pendant la même période de sa première année de vie. Sans une telle réglementation, à la fin de 16 semaines, la mère sera consolidée en tant que responsable des soins et fera l’objet d’une pression pour prolonger son congé avec congé non payé.
La situation du congé de paternité
De janvier à juin 2018, un total de 122 661 permis de paternité ont été demandés par le 122,183 demandes qu'il y en avait à la même période en 2017. Une augmentation de 4,48% témoigne de la conscience des hommes de s'impliquer dans la prise en charge de leurs enfants.
Un permis dont on a profité presque exclusivement selon les données de la Sécurité sociale. Au total, 122 421 couples n'ont pas partagé ces pertes. Seulement 1 325 personnes ont utilisé ensemble ces semaines, ce qui représente 1% du nombre total de couples ayant eu un enfant au cours de cette période de 2018.
Damián Montero